“Comment favoriser l’égalité de tous à l’École ?” – 03/02/2024

Colloque de l’AFAE – Académie de Versailles

 

“Comment favoriser l’égalité de tous à l’École ?”

 

Samedi 3 février 2024 de 9 h à 12 h

Lycée Pasteur

21, boulevard d’Inkermann

92200 Neuilly-sur-Seine

 

“L’École républicaine s’affirme, dans ses valeurs mêmes, comme une école de l’émancipation et de l’égalité. Pourtant, elle est traversée, comme la société à laquelle elle appartient, par de multiples formes d’inégalités et de discriminations. Les inégalités socio-économiques sont les plus connues et les mieux documentées. Notre matinée académique abordera deux autres formes d’inégalités, de plus en plus souvent mises en avant :

  • Les discriminations ethniques. Ces discriminations sont peu pensées par les acteurs de l’École et elles ne sont étudiées que depuis récemment par les sciences sociales. Quelle place occupent-elles ?  Comment les appréhender ?

Ismail FERHAT, professeur des universités à Paris X Nanterre, répondra à ces questionnements à travers une conférence suivie d’un échange avec la salle.

  • Les inégalités entre les genres sont dénoncées par l’ensemble des acteurs de l’école. Pourtant, elles ne semblent pas reculer véritablement, comme le montrent, par exemple, les choix d’orientation toujours fortement genrés. Comment comprendre cette persistance ? Comment, dans le cadre des apprentissages, les acteurs peuvent-ils favoriser une plus grande égalité entre les genres ? Comment, en particulier, peut-on transformer les pratiques de classe ?

Une table ronde sur cette question réunira Lisa MORHAIM maître de conférences à Paris II et vice-présidente de l’association Femmes et mathématiques et Sandrine BOUCHAREB, professeure d’EPS agrégée et doctorante Paris X Nanterre.

Cette matinée se veut un temps de partage d’expérience et  de réflexion prospective, dans l’esprit d’ouverture et de dialogue qui fondent l’association.

Un café d’accueil et un pot de l’amitié en fin de matinée vous seront proposés.

 

 

INSCIPTION OBLIBATOIRE (10 €)  > > > > >

(Règlement possible sur place en chèque ou espèce)

44e colloque : Temps et contretemps à l’École

L’école en crise chronique ?

 

S’il est une institution qui, de façon à la fois pratique et symbolique, marque le fonctionnement du système scolaire, c’est bien « l’emploi du temps » des établissements. Tout au long d’une année, il gouverne la vie des membres de la communauté éducative, élèves et enseignants au premier chef.

Mais l’emploi du temps n’est pas seulement affaire de chronologie ; il définit aussi les modalités d’occupation de l’espace scolaire, et la structuration des enseignements. Il s’inscrit dans un système de normes, arrêtées nationalement de façon (beaucoup trop) rigoureuse. Il incarne une forme scolaire qui, comme la tragédie racinienne, doit mettre en cohérence le temps (les heures de cours), le lieu (la salle), l’action (les tranches du programme). En 2006 déjà, un colloque de l’AFAE s’interrogeait sur cette « concordance des temps ».

Cette organisation annuelle participe d’une représentation temporelle plus large. Celle-ci s’est longtemps caractérisée par la référence à un héritage : l’éducation devait transmettre une tradition, nourrie des grands textes du passé. Elle était aussi retour de permanences : un rythme saisonnier, des rentrées jusqu’aux rites de passage de fin d’année, scandait de façon sécurisante la vie scolaire. Depuis plus de deux siècles, une autre perspective s’est imposée, tournée vers l’avenir, confiante dans la perfectibilité de l’esprit humain, selon la formule de Condorcet, et dans l’évolution des sociétés. Il s’agit désormais d’aider l’élève à se construire comme personne et comme citoyen.

Or ces imaginaires sont aujourd’hui fragilisés, et ce n’est bien sûr pas propre à l’école. Beaucoup l’ont souligné : l’avenir inquiète plus qu’il ne suscite l’espérance d’un progrès. L’activité même de l’homme semble se retourner contre lui. A l’ère de l’anthropocène, les conditions de survie de l’espèce, loin de promettre un monde meilleur, suggèrent une apocalypse. Le passé se dérobe tout autant ; ses figures et représentations traditionnelles sont mises à l’épreuve du soupçon. On a beau invoquer un « devoir de mémoire », l’histoire peine à mettre en accord les souvenirs. L’évolution de plus en plus rapide des techniques et des modes de vie, même à l’échelle d’une vie humaine, rend les leçons de l’expérience inaudibles.

Situation éminemment problématique pour l’école, qui s’était définie comme culte de la tradition et/ou comme préparation à l’avenir. Que devient-elle quand il n’y a plus de profondeur de champ, quand nous vivons dans l’immédiateté, dans l’échange « en temps réel » qu’appellent nos courriels ou textos ?

S’ajoute à cela un paradoxe. Alors même que nous vivons le temps sur le mode du présentisme, selon l’expression de F. Hartog, nous avons le sentiment qu’il subit une accélération permanente. Le présent en devient fluide et insaisissable. La figure moderne est celle du surfeur, en équilibre problématique sur une vague qui n’en finit pas de déferler. Cet effacement des références stables nourrit l’individualisme : l’homme contemporain, pour qui les institutions classiques aussi bien que les expériences passées perdent leur sens, est renvoyé à ses propres virtualités sans horizon. A défaut de rôles prédéfinis et socialement reconnus, il lui reste à entretenir des « compétences », une capacité à s’adapter à des contextes imprévisibles.

Tels sont quelques-uns des défis proposés aux acteurs de l’éducation, et d’abord aux élèves. Peut-on redéfinir les modalités de l’école dans le cadre de ces nouveaux « emplois du temps » ?

    • Entre temps long des parcours des élèves et temps court des années scolaires, comment gérer le fil du temps ? Qu’est-ce qu’« être à l’heure » dans un parcours scolaire, quand on parle de formation « tout au long de la vie »  ?
    • A quelle vitesse s’écoule le temps de l’école ? Tantôt il semble qu’il aille trop vite, soumis à la pression des programmes qu’il faut finir. Tantôt au contraire il stagne et se répète, condamnant à l’ennui (faut-il tuer le temps ?). Comment organiser les rythmes des apprentissages ? Que nous disent les sciences cognitives à ce sujet ?
    • Comment articuler travail scolaire et travail « personnel » des élèves ? Qu’est-ce que le « temps de travail » des enseignants ?
    • Qui définit les emplois du temps, que la réforme des lycées, par exemple, conduit à revoir sans cesse pour des groupes de moins en moins homogènes ?
    • Du numérique à l’intelligence artificielle, quel est le temps nouveau de « Petite Poucette » ?
    • Le temps de l’institution est devenu celui des réformes : que nous dit l’histoire, par exemple sur la question des rythmes scolaires ?
    • Comment piloter le système éducatif, entre pression du court terme qui ne cesse de générer des réformes et tentatives pour retrouver une perspective temporelle (les « lois d’orientation ») ?
    • Le temps est-il pour l’école celui de l’érosion (si le niveau de la mer démographique monte, celui du rivage baisse), ou celui du progrès et de la perfectibilité ?
    • Quelles conceptions du temps véhiculent les différentes disciplines : l’histoire bien sûr, mais aussi les lettres, les sciences ou la philosophie ? La didactique est-elle condamnée à une opposition manichéenne entre transmission d’un héritage et préparation de l’avenir ?

Alain BOISSINOT

Président du Conseil scientifique

 

 

 

Vous pouvez retrouver les actes du colloque dans le numéro 179 (2023/3) de la revue Administration & Éducation

Colloque : ” L’École au prisme des émotions”

Colloque 2022 de l’AFAE – Académie de Versailles

L’École au prisme des émotions

Avec la participation d’Oriane Petiot et Jérôme Visioli, agrégés d’EPS et chercheurs en Sciences de l’Éducation

au laboratoire VIPS de Rennes.

“Inscrit dans une tradition cartésienne, l’École française a longtemps ignoré le corps et les émotions dont il est porteur. Pourtant, les émotions occupent une place centrale dans la relation pédagogique. Les élèves s’engagent dans leurs
apprentissages à travers plusieurs processus émotionnels, notamment envers leurs enseignants. De même, l’exercice du métier de professeur est puissamment chargé d’émotions, positives comme négatives, dont résultent satisfactions et tensions
professionnelles.

  • Les émotions des élèves : comment comprendre les processus
    émotionnels des élèves ? Comment intervenir sur ces émotions à des fins
    d’éducation, d’engagement et d’apprentissage ?
  • Les émotions des enseignants : d’où proviennent-elles ? A travers une
    analyse des moments émotionnels forts vécus par les professeurs, il s’agira
    de les comprendre, les positives et les négatives, pour déboucher sur des
    pistes permettant de construire une relation pédagogique efficiente.

Cette matinée se veut un temps de partage d’expérience et de sens, un temps de réflexion prospective, un temps où chacun trouvera, nous l’espérons, de quoi nourrir son désir d’avenir.”

Samedi 9 avril 2022 de 9 h à 12 h

Lycée Pasteur

21, boulevard d’Inkermann – 92200 Neuilly-sur-Seine

 

Un café d’accueil ainsi qu’un moment convivial et gourmand en fin de matinée seront offerts.

Participation aux frais : 10 € / inscription obligatoire

Responsables académiques :

Emmanuel.Tranchant@ac-versailles.fr

Emmanuelle.Breuilh@ac-versailles.fr

En partenariat avec :

Lycée Pasteur

Neuilly sur Seine

 

En Métro : station Les Sablons (ligne 1)

En Bus :     ligne 174 (arrêt Lycée) – lignes 82 et 43 (arrêt Église Saint-Pierre)  lignes 163 et 164 (arrêt Inkermann-Bineau).

Également possibilité de parking mais les transports en commun sont à privilégier

    Colloque régional de l’AFAE : “Vers quelle école à l’horizon 2050 ?” [Académie de Versailles]

    Samedi 11 janvier 2020 de 9 h à 13 h

    Lycée Pasteur

    21, boulevard d’Inkermann

    92200 Neuilly-sur-Seine

    La révolution technologique et numérique modifie en profondeur nos sociétés, bouscule notre rapport aux savoirs comme nos rapports humains et interpelle l’école dans sa mission fondamentale de préparer l’avenir. Dans un même mouvement, les progrès des sciences cognitives et le développement de l’intelligence artificielle interrogent notre manière de concevoir les apprentissages jusque dans leur finalité : à quelles compétences l’école doit-elle préparer les générations futures ?

    Si dans un premier temps, l’école s’est montrée résistante à ces évolutions faute de formations adaptées, de moyens suffisants et par craintes des mauvais usages, elle s’empare aujoud’hui de ces nouvelles technologies et de ces apports scientifiques. Ces transformations redessinent la nature et les contenus des apprentissages et interrogent les pratiques professionnelles.
    Cette mutation est rapide et s’accélère encore. Vers quelle école nous amène-t-elle ? A quoi ressemblera l’enseignement à l’horizon 2050 ? Réfléchir à ces questions, c’est s’interroger sur l’école d’aujourd’hui et sur les orientations à prendre dès maintenant.

    L’AFAE-Versailles vous propose une matinée d’échanges autour des transformations actuelles et futures de notre système éducatif sous l’angle particulier de l’impact du numérique, des sciences cognitives et de l’intelligence artificielle.

    • Comment les recherches en sciences cognitives pourront-elles contribuer à améliorer les pratiques pédagogiques ? L’apprentissage de l’écrit et l’acquisition des compétences grapho-motrices font l’objet de recherches actuelles et dessinent de possibles évolutions futures.
    • Comment l’adaptabilité et la flexibilité qu’apportent les avancées technologiques se déclineront-elles dans les espaces et les bâtiments scolaires ? Si nous connaissons déjà les classes flexibles, les pratiques enseignantes de 2050 entraîneront sans doute d’autres besoins structurels.
    • Comment les nouveaux outils et l’intelligence artificielle, qui permettent une individualisation des apprentissages de plus en plus poussée, pourront-ils aussi contribuer à l’émergence de nouvelles humanités ? Intelligence collective, créativité, sens critique, émancipation citoyenne sont autant de clés pour relever les défis de demain.

    Cette matinée du samedi 11 janvier 2020 se veut un temps de partage d’expérience et de sens, un temps de réflexion prospective, un temps où chacun trouvera, nous l’espérons, de quoi nourrir son désir d’avenir.

    Avec la participation de Son-Thierry Ly (fondateur de DIDASK), Denis Alamargot (professeur en psychologie cognitive à l’Université Paris Est Créteil) et Laurent Jeannin (maître de conférences à l’Université de Cergy – chaire « transitions des espaces éducatifs »). Une intervention sur l’intelligence artificielle est également prévue.

    Retour sur les Numéryades en Île-de-France [Académies de Créteil-Paris-Versailles]

    Dans le cadre de la première édition des Journées Franciliennes du Numérique, voulues par le Conseil régional, l’AFAE en partenariat avec la DNE et la DANE de Paris ont organisé au lycée Pierre-Gilles de Gennes / ENCPB (Paris 13e), le mercredi 20 mars 2019, les Numéryades en Île-de-France, un moment de réflexion sur les pratiques et les usages des ressources numériques : quelle place dans la pédagogie ?

    Nous vous proposons un retour en vidéo sur cette journée :

    Jean Marc MERRIAUX aux NUMERYADES : quel manuel numérique ?

     

     Philippe TAILLARD Numéryades / les ressources, quel choix ? (entretien avec Claude TRAN)

     

    Eric BRUILLARD aux Numéryades : vous avez dit “ressource” ? (entretien avec Claude TRAN)

     

    Numéryades en Île-de-France, programme :

    • 9h00 | Lancement des Numéryades 2019 par Gilles Pécout, Recteur de l’académie de Paris, recteur de la région académique Ile de France.
    • 09H30 | Conférence « Enseigner à l’heure du numérique » d’Éric Bruillard Professeur des universités à l’ENS Paris-Saclay, directeur du laboratoire STEF « Chercheur sur les questions de conception et d’usage des technologies issues de l’informatique dans l’éducation ».
    • 10h30 | Grand témoin : présentation du projet « Lycée 4.0 » de la Région Grand-Est par le DAN de Strasbourg (Marc Neiss) et responsable des affaires scolaires de la Région.
    • 11h10 | Débat « Quelle place pour les manuels numériques ? »
    • 12h30-14h | Présentation de manuels et des ressources numériques dans le hall

    Numéryades en Île-de-France [Académies de Créteil-Paris-Versailles]

    Dans le cadre de la première édition des Journées Franciliennes du Numérique, voulues par le Conseil régional, l’AFAE en partenariat avec la DNE et la DANE de Paris vous invite à un moment de réflexion sur les pratiques et les usages des ressources numériques : quelle place dans la pédagogie ?

     

    Mercredi 20 mars 2019 de 8h30 à 15h00

    au lycée Pierre-Gilles de Gennes / ENCPB

    11 Rue Pirandello, 75013 Paris

    Programme :

    Cet événement prendra la forme d’une journée de de 8h30 à 15h00.

    • 9h00 | Lancement des Numéryades 2019 par Gilles Pécout, Recteur de l’académie de Paris, recteur de la région académique Ile de France.
    • 09H30 | Conférence « Enseigner à l’heure du numérique » d’Éric Bruillard Professeur des universités à l’ENS Paris-Saclay, directeur du laboratoire STEF « Chercheur sur les questions de conception et d’usage des technologies issues de l’informatique dans l’éducation ».
    • 10h30 | Grand témoin : présentation du projet « Lycée 4.0 » de la Région Grand-Est par le DAN de Strasbourg (Marc Neiss) et responsable des affaires scolaires de la Région.
    • 11h10 | Débat « Quelle place pour les manuels numériques ? »
    • 12h30-14h | Présentation de manuels et des ressources numériques dans le hall

    Inscription en ligne.

     

    Que veut le Supérieur ? Que peut le Lycée ? [Académie de Versailles]

    Que veut le Supérieur ? Que peut le Lycée ?

     

    Cette question des compétences attendues qui bouscule tous les acteurs, de la maternelle à l’université…

     

    Colloque de l’AFAE – Académie de Versailles
    Samedi 19 janvier 2019 de 9h00 à 13h00

     

    Télécharger le programme du colloque

     

    En cette année de mise en place de la réforme du lycée et à la veille de l’ouverture de la plateforme Parcoursup 2019, l’AFAE-Versailles vous propose une matinée d’échanges autour des transformations actuelles de notre système éducatif sous l’angle particulier de la liaison entre le secondaire et le supérieur.
    Dans une certaine urgence, les équipes des différentes filières de l’enseignement supérieur ont dû formaliser en 2018 leurs « attendus » pour renseigner la plateforme Parcoursup. Comment ce travail a-t-il pu être mené ? Comment les compétences attendues ont-elles pu être définies et comment pensait-on pouvoir les repérer ? Quelles transformations cette réflexion peut-elle induire ou a-t-elle déjà induit pour l’enseignement supérieur, tant dans son organisation, à travers la définition des parcours et des maquettes de formation, que dans les pratiques d’enseignement à travers les choix pédagogiques, l’accueil et l’accompagnement des étudiants ?
    Le lycée est en train de changer et toute réforme amène son lot d’interrogations voire d’inquiétudes. Qu’en attendons-nous ? Comment garantir une continuité pertinente de l’enseignement depuis le collège ? Comment l’instauration de nouveaux dispositifs d’évaluation comme le « grand oral » du baccalauréat peut-elle à la fois favoriser la reconnaissance de compétences nécessaires, encourager l’innovation pédagogique et contribuer à l’émergence d’un système plus juste ? Comment construire un lycée où la question de l’orientation ne soit plus celle où se cristallisent les peurs mais celle où s’épanouissent les désirs d’avenir ?
    Cette matinée du samedi 19 janvier 2019 se veut un temps de partage d’expérience et de sens à propos des évolutions actuelles, un temps de connaissance et d’interpellation mutuelle du collège à l’université, un temps où chacun trouvera, nous l’espérons, de quoi nourrir son envie d’agir.

    Avec la participation de :
    Madame Catherine Moisan, Présidente de l’AFAE, membre du comité scientifique et éthique de Parcoursup
    Monsieur Jean-François Balaudé, Président de l’Université de Paris-Nanterre
    Monsieur Laurent Champaney, Directeur général d’Arts et Métiers Paris Tech, Président de la commission Amont
    Ainsi que Mesdames et Messieurs les responsables des parcours de formation en Université, Grande École ou Lycée
    (Paris Sud-Orsay, UVSQ, IEP St Germain-en Laye, CESI, Lycée Louis-Le-Grand, Lycée Jules Ferry Versailles…)

    Lycée Pasteur
    21, boulevard d’Inkermann
    92200 Neuilly-sur-Seine
    Métro Les Sablons (ligne 1)

    Accueil café dès 8h45
    Un apéritif convivial vous sera proposé à 13h00 pour prolonger nos échanges.

    Inscription au colloque

     

    36e colloque national : Peut-on réformer l’école ?

    Peut-on réformer l’école ?

    Versailles et Marly-le-Roi, 04, 05 et 06 avril 2014

    Peut-on réformer l’École ? Pourquoi cette question puisque l’École ne cesse d’être réformée depuis un demi-siècle, de la loi Edgar Faure à celle de Vincent Peillon ? La question est cependant pertinente car, chacun en a conscience, toutes ces réformes n’ont pas permis d’atteindre les objectifs visés par leurs concepteurs. . Le ‘‘mammouth’’ cher à Claude Allègre a su résister . La réforme de l’école reste à faire.

    Christian PHILIP (Ancien recteur, Président du Conseil scientifique du colloque 2014)
    Le Programme